Les petites fleurs de saint François [Texte imprimé] - Livre - Fioretti di S. Francesco

Numéro d'inventaire

1994.07.01

Titre

Les petites fleurs de saint François [Texte imprimé]

Titre

Livre

Titre

Fioretti di S. Francesco

Rôle de l'auteur

Éditeur

Auteur

VOLLARD Ambroise

Date de création

1928

Rôle de l'auteur

Traducteur

Rôle de l'auteur

Illustrateur

Auteur

BERNARD Émile

  • Date de naissance28 avril 1868
  • Lieu de naissanceLille
  • Date de décès16 avril 1941
  • Lieu de décèsParis
  • À seize ans, Émile Bernard entre dans l’atelier du peintre académique Fernand Cormon puis il en est exclu pour impertinence. Menant une vie de bohème à Montmartre, il fait la connaissance de Toulouse-Lautrec qu’il suit dans les bordels. Chez le Père Tanguy, marchand de couleurs, il croise de nombreux artistes et découvre les toiles de Paul Cézanne. Il se décide alors à peindre « en impressionniste ». Durant l’été 1886, Bernard séjourne en Bretagne à Saint-Briac et à Pont-Aven où il croise Paul Gauguin qui ne le remarque pas. De retour à Paris, il se cherche et souhaite faire une peinture où l’idée domine la forme. En 1888, il retourne en Bretagne et peint au côté de Paul Gauguin à Pont-Aven. De leurs échanges naît le synthétisme ou encore le symbolisme pictural connu aussi sous le nom d’École de Pont-Aven. Ce nouveau courant artistique se distingue par une simplification des formes, souvent cernées d’un trait, et une gamme de couleurs restreinte. Sa toile intitulée “Bretonnes dans la prairie verte” (1888, Musée d’Orsay) en est l’exemple. Durant les années 1887-1892, Bernard réalise ses œuvres les plus emblématiques et participe ainsi aux innovations artistiques de la fin du XIXe siècle. Au printemps 1889, il expose ses toiles à Paris, au café Volpini, en marge de l’Exposition universelle, avec celles du groupe de l’École de Pont-Aven dont Paul Gauguin est le chef incontesté. À partir de 1894, à la suite de son installation au Caire, les œuvres de Bernard participent au courant orientaliste de la peinture européenne du XIXe siècle. D’autres œuvres, inspirées des maîtres du passé, plus classiques et réalistes dans leurs compositions, lui attirent de nombreuses critiques. Ambroise Vollard, rencontré dès 1893, lui organise plusieurs expositions à partir de 1901 et lui commande des estampes : le marchand reste fidèle à l’artiste en dépit des nouvelles orientations prises à partir de 1894.

Rôle de l'auteur

Imprimeur

Description

Cet ouvrage est la traduction d'un recueil anonyme toscan (1370-1390) de 53 histoires édifiantes concernant saint François d'Assise et ses compagnons qui constitue la principale source de la légende de saint François. Il s'agit d'une adaptation en toscan vulgaire des "Actus beati Francisci et sociorum ejus", attribués à Ugolino di Monte Santa Maria (XIVe s.).

Matière et technique

Livre illustré sur papier vergé d'Arches, 424 p.

Mesures

Hauteur en cm : 33,2

; Largeur en cm : 25,5

; Epaisseur en cm : 4,7

; Nombre de pages : 424

Domaine

imprimé

Propriétaire

Département de la Réunion

Gestionnaire

Musée Léon Dierx

Statut administratif

Achat en vente publique à Jean Louis Picard, commissaire-priseur, 1994.

Facettes

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